le père était peintre le fils cinéaste
JacquesPerrin est un acteur, réalisateur de documentaires et producteur français, né le 13 juillet 1941 à Paris 14 e, et mort le 21 avril 2022 à Paris 17 e.. Biographie Jeunesse et débuts. De son vrai nom Jacques-André Perrin-Simonet naît le 13 juillet 1941 à Paris 14 e [1], [2], [3], cet « enfant de la balle » est le fils d'Alexandre Simonet, régisseur à la Comédie-Française
AugustinRouart, disparu en 1997, avait bénéficié avant sa mort d’une petite exposition en mairie pour ses 80 ans, à l’initiative de son fils. Le père, coupé du milieu, ne
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JeanLouis Trintignant naît le 11 décembre 1930 à Piolenc à 6 km au nord-ouest d'Orange.Il a un frère de quatre ans son aîné [2].Il est le fils de Raoul Trintignant, industriel, maire de Pont-Saint-Esprit (1944-1947) et conseiller général du canton homonyme (1945-1949).Raoul Trintignant est l'un des responsables de la Résistance à Pont-Saint-Esprit avant de rejoindre un maquis
. 0 commentaire. Réalisateur et scénariste français, Jean Renoir, fils du célèbre peintre Auguste Renoir, nait à Montmartre le 15 septembre 1894. Ses films ont profondément marqué le cinéma français et ont fortement influencé
Créer Son Site De Rencontre Gratuit. Publié le 08 novembre 2021 à 18h00 Le père et le fils réunis le temps d’un concert. Le Cabaret Ça swingue chez Gradlon » ouvrira ses portes les 12 et 13 novembre à 20 h 30 et sera consacré aux chansons du regretté Graeme Allwright. Son fils, Christophe, guitariste-comédien, se joindra à Jean-Luc et Mary du groupe Les Hoboe le temps d’un hommage à son père. Christophe Allwright, la Bretagne et surtout les environs de Penmarc’h sont, pour vous, des lieux de vibrants souvenirs ?Lorsque j’étais enfant, j’ai passé de magnifiques vacances près de la chapelle de La Madeleine. J’avais fait la connaissance du peintre Jean Bazaine. Très vite, j’ai admiré cet homme. Adulte, je suis revenu sur ces lieux, j’y ai rencontré Mélaine Favennec et très vite notre amitié est née. J’aime ses chansons. Et, il y a peu de temps, j’ai appris que Jean-Luc et Mary vivaient par là. Nous avons pu discuter des chansons de Graeme et en choisir certaines pour le votre jeunesse, guitariste, vous avez accompagné votre père dans de nombreuses tournées ?J’avais 16 ans, j’ai effectivement participé à des tournées, mais j’ai vite arrêté, trop de produits illicites circulaient et j’ai senti le alors que vous vous tournez vers le théâtre ?Ma mère, Catherine Dasté, appartenait à une longue lignée de comédien, j’ai pris des cours de théâtre. Je suis entré au Théâtre du Campagnol créé par Jean-Claude Penchenat. C’était une troupe constituée en Scop, nous avions une autonomie. J’ai joué dans la fameuse pièce Le Bal » une création du Campagnol. Le cinéaste Ettore Scola a assisté à l’une des représentations et a été séduit. Il a tiré son film éponyme, dans lequel, les comédiens du Campagnol ont joué. Malgré le succès du film nous avons à peine été payés et n’avons pas été invités à la cérémonie des César alors qu’il était en êtes aussi l’un des fondateurs de la ligue d’improvisation française ?Une troupe québécoise, qui pratiquait l’improvisation, était à Paris. Elle m’a servi de modèle. J’ai aussi fondé la Compagnie des Compagnons de route qui a beaucoup vous êtes revenus à vos amours de jeunesse en tournant à nouveau avec votre père ?Les dernières années, je l’ai à nouveau accompagné. Je voulais faire deux albums, l’un consacré à ses chansons, l’autre aux miennes. Mon fils, guitariste, devait y participer. Le projet dans un premier temps a avorté. Puis, mon père a disparu et j’ai repris le projet. Au printemps, les deux albums devraient voir le les 12 et 13 novembre, à 20 h 30, à la MPT du Moulin-Vert. Tarif 13 €.
Qui ? Quand ? Pourquoi ? La question a été tournée, retournée des dizaines de fois. Sans toutefois que le voile du mystère ne se lève. Le dernier à s’être frotté à la chose est un cinéaste espagnol de 36 ans. Samuel Alarcon. Il a signé un documentaire Le crâne de Goya », prix du meilleur scenario au festival de Madrid et retenu au FIPA 2019, coproduit par les Bordelais de Marmita Films J’ai eu le...Qui ? Quand ? Pourquoi ? La question a été tournée, retournée des dizaines de fois. Sans toutefois que le voile du mystère ne se lève. Le dernier à s’être frotté à la chose est un cinéaste espagnol de 36 ans. Samuel Alarcon. Il a signé un documentaire Le crâne de Goya », prix du meilleur scenario au festival de Madrid et retenu au FIPA 2019, coproduit par les Bordelais de Marmita Films J’ai eu le fantasme que la vérité surgisse, que l’on puisse retrouver ce crâne… », souffle-t-il. Goya, un réfugié à Bordeaux L''institut Cervantes, à Bordeaux Francisco Goya passe les huit derniers mois de sa vie au 57 cours de l'Intendance, à Bordeaux. Petit retour en arrière. Francisco Goya y Lucientes s’installe à Bordeaux en 1824. Il a 78 ans, n’entend plus rien et ne parle pas un mot de français. Mais jouit d’une immense renommée, d’où sa charge de peintre à la cour d’Espagne. Or, l’absolutisme du roi Fernando VII le pousse à l’exil. Le génial Aragonais prétexte une cure thermale à Plombières pour filer à l’anglaise et gagner les bords de Garonne. Il y retrouve une diaspora espagnole acquise aux idées libérales. Sa jeune compagne, Léocadia, s’installe avec lui et ses deux enfants. En quatre ans, la famille déménage quatre fois. Les huit derniers mois de sa vie , il les passe au 57 cours de l’Intendance, où est désormais installé l’Institut Cervantès. A Bordeaux, Goya fréquente ses compatriotes. Son grand âge ne le fait pas renoncer au travail. Au contraire. Il s’initie aux techniques de gravures. Surtout, il arpente la ville, un carnet de croquis à la main, assiste aux courses de taureaux, aux exécutions capitales place de la Victoire... Il existe 44 dessins jetés sur le papier qui racontent les Bordelais, vus par l’œil de Goya. De ce séjour, on retiendra aussi le premier chef d’œuvre de la lithographie et l’un de ses derniers chefs-d’oeuvre les quatre pièces baptisées Taureaux de Bordeaux. Et, bien sûr, la célèbre Laitière de Bordeaux », exposée au Prado à Madrid. L’oublié de la Chartreuse 16 avril 1828. 2 heures du matin. El pintor » s’éteint à 82 ans dans son appartement du cours de l’Intendance. La nouvelle se répand comme une traînée de poudre. Si bien que l’Église Notre-Dame est pleine quand les obsèques sont célébrées en fin de journée. Goya est inhumé au cimetière de la Chartreuse, dans la tombe de Miguel Martin Goicochea. Un ami proche qui est aussi le beau-père de Javier Goya, le fils du peintre. En froid avec son père, ce dernier ne vient à Bordeaux que huit jours après le décès. Il prend soin de faire rapatrier les meubles de son père. Pas son corps. Laissant au passage Léocadia dans le plus grand dénuement. Sur le cénotaphe de la Chartreuse il est gravé dans la pierre "A Goya". Les années passent. Goya est abandonné à l’oubli de l’exil. Un demi-siècle s’écoule. Et voilà qu’au hasard d’une visite sur la tombe de sa femme, Joachim Pereyra, le consul d’Espagne, aperçoit l’épitaphe sur un monument funéraire décati. Il se met en quatre pour rendre la dépouille de Goya à l’Espagne. Près de dix ans. C’est le temps qu’il aura fallu pour que les administrations française et espagnole accèdent à la légitime initiative du consul. Le 16 octobre 1888, ce dernier, accompagné de quelques témoins, dont le Bordelais Gustave Labat, regardent les fossoyeurs pénétrer dans la crâne de Goya a disparu ! Les ossements de deux corps gisaient épars sur le sol … Près de l’entrée se trouvaient les débris d’un colosse. C’était là ce qu’il restait de Goya. Seulement notre émotion fut bien vive. Sa tête avait disparu. Une main sacrilège l’avait dérobé. Où, quand, comment ? Stupeur ! Deux squelettes ont été sortis de leurs tombes. Le plus petit est entier. Le plus grand, manifestement celui de Goya, n’a plus de tête ! Pereyra pressent que la nouvelle pourrait compliquer le rapatriement. Il décide donc d’envoyer en Espagne les deux corps , celui sans tête de Goya et celui de Goicochea. En 1899, une fois les contraintes budgétaires et aléas administratifs levés, les ossements prennent, enfin, le chemin de à cette occasion, que le Bordelais Labat, témoin de l’inhumation, livre sa version des faits dans le bulletin de l’Académie des sciences, des belles lettres et des arts de Bordeaux Les ossements de deux corps gisaient épars sur le sol … Près de l’entrée se trouvaient les débris d’un colosse. C’était là ce qu’il restait de Goya. Seulement notre émotion fut bien vive. Sa tête avait disparu. Une main sacrilège l’avait dérobé. Où, quand, comment ? » A qui appartient la main sacrilège ? Des questions encore sans réponse. La vérité se trouve bien quelque part mais où ? Plusieurs hypothèses ont fleuri. Toutes convergent vers celle d’un adepte d’une science balbutiante au moment des faits la phrénologie. Une discipline qui consiste à étudier le caractère, le génie, le talent ou le vice d'un individu, d'après la forme de son crâne... Celui de Goya valait le coup d’oeil. Il se dit que l’artiste aurait donné son accord à son médecin, le Docteur Gaubric, pour procéder à l’examen post mortem. Le geste sacrilège aurait ainsi eu lieu dans le laboratoire de l’école de médecine de Bordeaux. C’est en tout cas ce que dit l’acte laissé par Gaubric glissé dans le cercueil. Il y est dit que le crâne a été remis à la dépouille. Mais il n’y est pas. Il serait tout simplement resté dans la salle d’anatomie. Et identifié comme tel. Un étudiant l’aurait sauvé de la fosse commune quand il s’est agi de renouveler l’ossuaire. Dans les années 1950 on trouve sa trace dans un bar espagnol des Capucins le Sol y Sombra. Au Sol y Sombra L’étudiant en médecine en aurait fait don à ce petit bout d’Espagne. C’est toujours ça. Lors des agapes estudiantines, il est de coutume d’aller s’incliner devant le héros national qui trône en évidence au fond du troquet. En 1961, un fait divers sonne le glas de l’établissement. On a d’abord cru à un meurtre. Il s’agissait en fait d’une banale, mais tragique, intoxication au gaz. Le rideau est tiré, tout le mobilier est repris par un brocanteur. Le crâne de Goya est aperçu pour la dernière fois sur son étal, au marché aux puces de Mériadeck. Goya est une figure à la hauteur de sa légende Luisa Castro, directrice de l’Institut Cervantès de Bordeaux. Le carabin cleptomane Une thèse séduisante. Dans son film, Samuel Alarcon, a procédé à une reconstitution méticuleuse des dernières heures de Goya. Il apparaît selon sa thèse, que Goya a été mis en terre en un seul morceau. Sa tombe a donc été profanée... Le cinéaste explore une voie loin de Bordeaux La peinture d’un crâne comme seul indice du crâne d’une peintre ». En l’occurrence une vanité intitulée Crâne de Goya », réalisée par le peintre Dionisio Fierros. Datée de 1849…. Or, à cette date, quarante ans avant la terrible découverte au cimetière de la Chartreuse, personne ne pouvait savoir que le crâne avait été dérobé. A moins que... Et puis les biographes disent de Fierros qu’il était un peintre d’une grande probité. Aussi, celui-ci n’aurait pu réaliser le tableau sans modèle original. Il y a fort à parier que le crâne a été volé et acheminé de l’autre côté des Pyrénées. Coïncidence troublante, avant d’être exposé au musée de Saragosse, le tableau était la propriété du Marquis de San Adrian. Or Goya lui avait tiré le portrait, l’un de ses plus beaux. Et les deux hommes étaient devenus amis lors de leur exil bordelais... Le petit-fils de Fierros passera sa vie à chercher le crâne de Goya. Il publie un essai en 1943 sous le titre Mon Grand Père a-t-il volé le crâne de Goya ? ». Le documentaire de Samuel Alcaron remonte patiemment cette piste pour parvenir à un dénouement… incertain. Mais qui accrédite une autre des thèses qui circule à Bordeaux. Celle d’un carabin espagnol, cleptomane et adepte de phrénologie qui aurait commis l’acte sacrilège…191 ans après sa mort, on ignore encore qui a volé le crâne de Goya. Et encore moins où il se trouve.
Culture Cinéma VIDÉOS. Le célèbre metteur en scène polonais était âgé de 90 ans. Andrzej Wajda avait notamment réalisé "L'Homme de marbre" et "Katyn", sélectionné aux Oscars en 2008. Andrzej Wajda était âgé de 90 ans. © AFP/Michal Fludra / NurPhoto Andrzej Wajda avait retracé, à travers ses films, l'histoire de son pays. Âgé de 90 ans, il est décédé dimanche soir à Varsovie d'une insuffisance pulmonaire, ont annoncé ses proches et plusieurs médias polonais. Il était le réalisateur de L'Homme de marbre et de nombreux autres films reflétant l'histoire complexe de son pays. Hospitalisé depuis plusieurs jours, il se trouvait dans un coma pharmacologique, a indiqué à l'AFP un proche de la famille, qui a demandé à garder l'anonymat. Nous espérions qu'il en sortirait », a dit le scénariste et metteur en scène Jacek Bromski sur la chaîne privée TVN24. Malgré son grand âge, le cinéaste était resté très actif ces dernières années, secondé par sa femme Krystyna Zachwatowicz, actrice, metteur en scène et scénographe. Un cinéaste engagé Dans Katyn, sélectionné aux Oscars en 2008, il racontait l'histoire tragique de son propre père, Jakub Wajda, qui fut l'un des 22 500 officiers polonais massacrés par les Soviétiques en 1940, notamment à Katyn. Capitaine d'un régiment d'infanterie de l'armée polonaise, il fut exécuté d'une balle dans la nuque par le NKVD, la police secrète de Staline. Son dernier film, Powidoki Après-Image, 2016, qui a eu sa première en septembre au Festival de Toronto Canada et qui n'est pas encore sorti en salle, sera le candidat polonais aux Oscars. Wajda y raconte les dernières années de la vie d'un peintre d'avant-garde et théoricien de l'art, Wladyslaw Strzeminski, en lutte contre le pouvoir stalinien. Certains critiques y ont vu une métaphore de la Pologne actuelle dirigée par les conservateurs de Droit et Justice PiS. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement Pologne le cinéaste Andrzej Wajda est mort 4 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.
“C’était le Gepetto d’ET” expliquait récemment Spielberg. Son père donc; celui qui avait su lui insuffler la vie, ou mieux le pneuma, son souffle vital. Avec Carlo Rambaldi né en 1925 en Emilie-Romagne et mort vendredi 10 à l'âge de 86 ans ce n’est pas seulement l’un des plus talentueux artisan du cinéma qui s’éteint, mais un véritable sorcier. Peintre, sculpteur, bricoleur de génie, Rambaldi a contribué à révolutionner le cinéma euphémisme en donnant vie aux plus grandes créatures du septième art. Resté célèbre pour avoir fait marcher ET, il avait avec HR Giger créé le xénomorphe d’ disait sorcier ? On connait la légende en 71, pour une scène rêvée du Venin de la peur, Lucio Fulci avait demandé à Rambaldi d'imaginer des chiens éviscérés. Ses créatures paraissaient tellement réelles que la justice italienne attaqua Fulci pour “torture sur animaux” et Rambaldi dut venir au tribunal avec ses marionnettes pour sauver le cinéaste de la prison et prouver que tout cela n’était que du cinéma ! Magie d’une époque où le septième art prétendait encore à l’illusion du réel... Et sans rejouer l’éternelle guerre entre l’artisanat et l’industrie numérique, entre Ray Harryhausen et ILM ou bien l’hybris contre la mécanisation, on reconnaîtra que les créatures de Rambaldi avaient une certaine gueule. A une époque où les effets spéciaux ne passaient pas encore uniquement par les prouesses d’un ordinateur, il avait su transformer la matière pour donner corps aux fantasmes des cinéastes. Pape de la mécatronique - cette discipline qui combinait la mécanique, l’électronique et l’ingénierie - il ne cachait pas son mépris pour l’infographie et vantait l’artisanat de son métier “Je suis un créateur d’acteurs mécaniques, qui n’existent pas dans la réalité. Ce qui m’intéresse, c’est la combinaison entre mécanisme, forme et reproduction du mouvement”.Parti d’Italie où il révolutionna l’art du maquillage et des effets spéciaux et imprima sa marque sur le fantastique transalpin des 60’s, son génie fut révélé par Dino de Larentiis et rapidement récupéré par Hollywood Joseph Mankiewicz pour Cléopâtre, John Huston pour La Bible firent appel à lui. Avant que les glorieuses 70’s fassent de lui le roi des SFX successivement, il conçut le King Kong de Guillermin même si sa sculpture de 12 mètres apparait finalement peu dans le film, les Greys de Rencontres du troisième type l’Alien, ET et les vers de Dune. ET et Alien lui vaudront l’Oscar des meilleurs effets spéciaux. Mais à côté de ces classiques, les cinéphiles se souviendront aussi de la pieuvre qui attaque Isabelle Adjani dans le fantasme de Possession ou du masque-tuba qu’il avait imaginé pour Danger Diabolik de Mario Bava cinéaste avec lequel il travailla étroitement pendant de longues années.C'est un pan entier du cinéma fantastique qui disparaît aujourd'hui et la mort de Carlo Rambaldi laisse les créatures les plus folles du septième art définitivement orphelines.
Jusqu’au 5 octobre, l’ancien Évêché d'Uzès présente Morceaux choisis de l’histoire de l’art XIXe et XXe siècle. 32 œuvres peinture et sculptures de 16 artistes issus de collections privées. Le Sud est le trait d’union entre les artistes présentés à Uzès. Tous y sont venus ou en sont issus. Le Sud et sa lumière. Le Sud et son "soleil qui écrase les sujets et accentue la couleur" souligne Marc Stammegna, commissaire de l’exposition. Expert international de l’œuvre de Monticelli, à l’origine de la Fondation Monticelli à Marseille, grand collectionneur, Marc Stammegna est venu s’installer il y a peu à Saint-Quentin-la-Poterie. De sa rencontre avec le maire d’Uzès est née une belle complicité et l’idée de créer cette exposition temporaire exceptionnelle, grâce à des prêts gratuits, issus du réseau de collectionneurs privés de Marc Stammegna. Marc Stammegna, Emmanuel Renoir et Jean-Luc Chapon, autour du tableau de Renoir représentant son fils, le futur cinéaste Jean Renoir. L’arrière-petit-fils de Renoir présent à Uzès Trente-deux œuvres de seize artistes de renom lire ci-contre dont certaines pièces ont rarement été exposées comme celle de Picasso, deux fois en 40 ans ou même jamais. C’est le cas d’une peinture d’Auguste Renoir représentant son fils, Jean, enfant, qui deviendra cinéaste. Jean était le grand-oncle d’Emmanuel Renoir, arrière-petit-fils du peintre. Emmanuel Renoir était présent lors du vernissage à Uzès, se disant "ému " de découvrir le tableau familial. "Renoir adorait le côté familial, il a réalisé une centaine de tableaux de ses proches ou de l’entourage familial, de sa maison… Il aimait transmettre ce qu’il avait autour de lui sans but commercial." Le commissaire de l’exposition affirme n’avoir eu aucun mal à convaincre les collectionneurs à prêter une ou plusieurs pièces pour une première exposition de cette envergure à Uzès. "Tous ont été convaincus d’avoir à Uzès un écrin exceptionnel ", note Marc Stammegna qui a trouvé une adhésion immédiate à ce projet de l’ensemble de la municipalité, "depuis l’adjoint de la culture, la conservatrice du musée, jusqu’aux services techniques" qui ont dû aménager en un temps très court des pièces de l’ancien Évêché, sous le musée Georges-Borias. "Le directeur régional de la Drac a été aussi très à l’écoute et a compris notre démarche." Un énorme effort a été fait sur la sécurité, tant au niveau matériel qu’en moyens humains avec des équipes de sécurité permanentes. Pour Jean-Luc Chapon, cette exposition est une grande fierté et la concrétisation d’un vieux rêve. La ville, labellisée d’art et d’histoire qui compte déjà deux festivals renommés avec les Nuits musicales et Uzès danse, ajoute une nouvelle dimension à son offre culturelle. "Avec notre musée, notre nouveau centre culturel, il nous manquait une grande exposition et surtout un chef d’orchestre. On l’a trouvé avec Marc Stammegna", conclut le maire. Preuve de l’engouement pour Uzès, Marc Stammegna affirme pouvoir déjà présenter les expositions des trois prochaines années. Ouvert tous les jours sauf le lundi Exposition au premier étage de l’ancien Évêché, 1 place de l’Évêché, tous les jours sauf le lundi de 10 h à 19 h jusqu’au 5 octobre. Tarif 7 €. Tarif réduit 5 €. Visite commentée 10 €. Tarif réduit 8 €. Billets en vente sur place à l’Office de tourisme, 16 place Albert 1er, ou à l’office municipal de la culture, 1 Place du Duché. Également en ligne sur et sur Cinq visites commentées par le commissaire de l’exposition et la conservatrice du musée Borias auront lieu à 18 h jeudi 19 mai, mardi 28 juin, jeudi 21 juillet, jeudi 18 août et jeudi 8 septembre.
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