difference entre fosse septique et micro station
Commepour le cas de la fosse septique, la micro station d’épuration désigne un système d’assainissement individuel. La différence est que la micro-station dispose déjà d’un dispositif de prétraitement d’eaux usées. On peut trouver les micros stations à culture fixée et celles à culture libre. Si le nombre d’occupants varie souvent, il vous est conseillé d’opter pour la
Quelleest la différence entre une fosse septique et une micro-station ? L'entretien de votre micro-station, de votre pompe de relevage par un professionnel : u Avis Entreprise de vidange et assainissement Grenoble; À qui faire appel pour déboucher mes canalisations ? Comment savoir que ma fosse septique est pleine ?
Quelleest la différence entre une mini station d'épuration et une fosse septique? Les fosses septiques fonctionnent un peu différemment des mini stations d'épuration, bien que le principe soit le même. Dans une fosse septique, le fonctionnement est surtout basé sur la décantation, qui permet seulement de séparer des liquides les
Quevous ayez l’un ou l’autre de ces systèmes, il faut savoir que la vidange de fosse septique, de fosse toutes eaux ou vidange micro stations doit être réalisée tous les 4 ans. Elle doit être effectuée par un professionnel agrée comme l’est notre entreprise de vidangeur de fosse septique sur Puget-sur-Argens. Notre entreprise a reçu un agrément de la préfecture afin de
Ilne reste alors qu’une eau claire conforme aux normes gouvernementales et l’eau est redirigée vers l’exutoire de la micro-station. Selon la question, quelle est la différence entre une fosse septique et une micro station ? Comme son nom l’indique, la fosse toutes eaux collecte l’ensemble des eaux usées de la maison pour en assurer le prétraitement.
Créer Son Site De Rencontre Gratuit. Vidanger une micro-station d’épuration consiste à extraire les boues dans le premier compartiment de la station. Conformément à l’Arrêté du 7 septembre 2009, la hauteur des boues ne devrait pas excéder les 50 % du volume utile du bassin de décantation primaire. Certains fabricants préconisent même de ne pas dépasser les 30 %. D’une manière générale, les chiffres les plus divers avancent une périodicité de vidange entre 3 mois et 4 ans les utilisateurs se demandent donc souvent ce qui peut faire varier les fréquences de vidange d’un modèle à l’autre et d’une situation à l’autre. Explications ! LA VIDANGE D’UNE MICRO-STATION D’ÉPURATION, UN ÉLÉMENT SOUVENT NÉGLIGÉ Rappelons d’abord pourquoi il faut vidanger une micro-station. Lorsque les eaux usées arrivent dans la station, elles se déversent dans un premier compartiment, le décanteur. Ici, les matières solides en suspension dans les eaux usées se décantent et forment des boues au fond de la cuve. Il faut donc périodiquement intervenir pour vider ces boues c’est ce que l’on appelle la vidange. Pour être efficace, une micro-station doit donc être vidangée régulièrement. Lors d’un contrôle classique d’entretien, le technicien mesure le niveau des boues dans le décanteur, et vous en informe. En ayant recours à des entretiens réguliers une fois par an, vous êtes donc en mesure de savoir si la prochaine vidange est proche ou non. L’entretien régulier est une bonne idée, car le technicien ne contrôle pas que les boues il analyse aussi d’autres éléments pour évaluer la performance de votre micro-station pH, taux d’oxygène dissous, état du filtre, etc. et s’assurer qu’il n’y a pas de dysfonctionnement. Si la vidange est nécessaire, vous en serez donc informés. Les tarifs d’une vidange varient énormément, et ne sont pas du tout harmonisés. En fonction des régions et des professionnels, vous vous en tirerez en moyenne pour entre 150€ et 300€. POURQUOI FAUT-IL VIDANGER LA MICRO-STATION ? La vidange de la fosse toutes eaux est l’opération d’entretien la plus importante pour cette filière. Un dispositif en mauvais état de fonctionnement peut, en effet, impliquer des coûts supplémentaires non négligeables. Une vidange régulière vous permet de garantir le bon fonctionnement mécanique de votre système et surtout de maintenir ses performances épuratoires. L’extraction des boues permettent donc d’éviter le fait que Le système ne fait pas l’objet d’un colmatage progressif, Les boues viennent obstruer le réseau de collecte, Les boues ne sont pas évacuées correctement dans la filière de traitement il n’est pas recommandé de pomper les boues du réacteur, Les boues sont relâchées dans le milieu naturel, ce qui peut entraîner des pollutions de l’environnement. QUELLES CUVES VIDANGER DANS UNE MICRO-STATION ? L’extraction des boues est toujours réalisée dans la zone de stockage qui se trouve au fond du décanteur primaire de la micro-station. Certains modèles peuvent toutefois ne pas avoir de décanteur. Dans ce cas, la zone de stockage se trouve donc dans le clarificateur. Quatre cas peuvent alors se présenter à vous Micro-station à 3 compartiments avec recyclage des boues Ceci signifie que la filière est composée d’un décanteur primaire, un bioréacteur et un bassin de clarification, dans le sens d’écoulement de l’eau. Grâce à un système de recyclage des boues, seul le décanteur devra donc être vidangé en cas de besoin. Modèle à 3 compartiments sans recyclage des boues Dans ce cas, le système est toujours constitué d’un décanteur, un bioréacteur et un clarificateur. Cependant, il est dépourvu d’un équipement qui permet de réacheminer les boues résiduelles dans le clarificateur vers le décanteur primaire. Vous devez donc vidanger à la fois la fosse toutes eaux et la cuve de clarification. Micro-station bi-cuve La filière comporte deux compartiments dont le premier intègre l’équipement d’oxygénation. Pour ce modèle, le spécialiste de l’assainissement devra vidanger le deuxième compartiment qu’est le clarificateur. Micro-station mono-cuve L’ensemble des procédés de traitement des eaux se déroule dans un seul compartiment qui, à un certain moment, doit être vidangé. Au cas où le système ne possèderait ni un décanteur ni un clarificateur, sachez que vous allez devoir le vidanger très régulièrement. Dans tous les cas, notez que la zone de stockage ne doit pas être vidangée dans sa totalité. Il convient de laisser une quantité suffisante de boues afin d’ensemencer le bioréacteur avec les bactéries épuratrices qui y sont anciennement présentes. Pour définir la fréquence de vidange d’une micro-station d’épuration, il faut prendre en compte plusieurs paramètres comme Les habitudes des résidents, Le taux d’occupation du logement raccordé, Le type d’installation, La teneur et les concentrations des effluents domestiques, Etc. La vidange théorique Les fabricants annoncent toujours une fréquence de vidange théorique sur les dispositifs, mais cette fréquence est réalisée à partir de tests en laboratoire et non à partir d’observations en utilisation réelle. Le concept de vidange théorique est basé sur la mesure du niveau de boue enregistrée pendant les essais réalisés pour que la filière puisse bénéficier d’un marquage CE. Cependant, le problème est que les eaux traitées ne représentent pas réellement les eaux usées domestiques, étant donné qu’elles sont passées par le réseau collectif. En occupation permanente et à pleine charge, il faut prendre en compte la vidange réelle de la micro-station. Autrement dit, le fabricant peut vous conseiller de vidanger plus qu’il ne le faut effectivement. En réalité, il faut compter une vidange par an, même si certains dispositifs peuvent en demander deux et d’autres seulement une tous les 2 à 4 ans. Supposons qu’une maison soit occupée en permanence par 6 personnes pendant toute l’année et à pleine charge. Évidemment, si le nombre d’occupants diminue au cours de l’année, la fréquence de vidange va aussi diminuer, car la génération de boue peut décroitre dans le temps. Une plus grande fosse vous permet d’espacer les vidanges Le plus important lorsque vous choisissez votre dispositif est de regarder le volume de la cuve. À titre d’exemple, prenons deux dispositifs de 1 à 6 EH Equivalent-Habitant la micro-station Tricel FR6/3000 et la micro-station Tricel FR6/4000. La différence entre ces deux dispositifs réside dans la capacité de leur bassin de décantation primaire qui est plus importante pour le modèle FR6/4000 2,4 m3 au lieu de 1,4 m3. Disposant d’une capacité de 1m3 de plus, le modèle FR6/4000 dernier pourra donc être vidangé moins fréquemment que la FR6/3000. Par ailleurs, pour ces deux modèles, si le nombre d’occupants est inférieur à 6, la périodicité de la fréquence de vidange sera encore plus espacée. Pour la micro-station FR6/4000, la fréquence de vidange peut par exemple aller jusqu’à 5 ans voire 8 ans si le nombre d’occupants était réduit à 3 EH. Les matières de vidange peuvent contenir de très fortes concentrations en pollution azotée et carbonée. Elles peuvent également présenter des teneurs très importantes en graisses et en sulfures. De plus, leur caractère septique peut contribuer au développement des éléments organiques indésirables. L’élimination de ces matières doit ainsi être réalisée conformément aux dispositions réglementaires. Après quoi le spécialiste qui réalise l’entretien de votre micro-station est tenu de vous remettre un certificat de vidange contenant les informations suivantes Nom ou raison sociale, Adresse de la micro-station vidangée, Nom de l’occupant, Date de réalisation de la vidange, Caractéristiques techniques prises en compte, Nature et quantité des matières éliminées, Lieu les boues issues du curage sont transportées en vue de leur élimination. Sur ce dernier point, sachez que les boues extraites peuvent être valorisées dans un objectif de développement durable. Après l’opération de vidange, la majeure partie des matières peut être réutilisée dans le monde agricole pour l’épandage des champs. Bien entendu, il existe également d’autres méthodes d’élimination des boues comme l’incinération ou bien l’enfouissement dans des décharges. À QUI CONFIER CETTE OPÉRATION ? La vidange de la cuve de décantation doit être effectuée par Un vidangeur agréé, Une entreprise spécialisée et agréée, Ou par le SPANC Service public d’assainissement non collectif, dans certains cas. Dans tous les cas, le prestataire doit être en mesure de vous délivrer un certificat pouvant être présenté lors du contrôle annuel réalisé par le SPANC. Bon à savoir Si nécessaire, il est aussi possible de prouver le bon entretien de votre micro station en présentant la facture détaillée des opérations d’entretien réalisées. Le SPANC peut vous fournir une liste des entreprises agréées par le Préfet pour assurer la vidange des systèmes d’assainissement de votre région. EST-IL OBLIGATOIRE DE LE FAIRE AVANT DE VENDRE VOTRE MAISON ? Pour une raison ou une autre, vous pourrez être amené à revendre votre bien. Dans ce cas précis, sachez toutefois qu’il n’est pas toujours obligatoire de vidanger votre micro-station. La raison est que, lors de la vente du logement, la zone de stockage des boues n’est pas forcément bonne à vidanger. La loi prévoit que les boues doivent extraites une fois que leur volume atteint 30% de celui de la cuve décantation. En dessous de 30%, vous n’avez donc aucun intérêt de vidanger la cuve, dont environ 3/4 du volume serait de l’eau. Et même si le volume des boues atteint ce seuil, il ne faut pas oublier que certains modèles peuvent fonctionner très bien au-delà de 30%. Le diagnostic assainissement est pourtant obligatoire Si la vidange n’est pas obligatoire, vous devez néanmoins joindre au compromis de vente un document attestant que vous avez réalisé un diagnostic d’assainissement non collectif. Ce diagnostic a été récemment ajouté aux autres diagnostics immobiliers obligatoires dont le but est d’informer l’acheteur de l’état de votre micro-station. Bien entendu, le SPANC peut rendre la vidange de la fosse obligatoire dans les cas suivants Elle présente un risque sanitaire pour les occupants et pour les agents d’exploitation. C’est par exemple le cas lorsque l’eau septique devient corrosive, Il y a un risque de fuite et de pollution, Etc. Là encore, vous n’êtes pas obligé de réaliser les travaux d’entretien, mais de le faire faire par le nouvel acquéreur de votre maison. Cela dit, cette opération ne requiert que quelques centaines d’euros. Il est donc plus avantageux de le faire vous-même pour que cela n’influe pas sur le prix de vente de votre habitation. CONSEILS POUR ESPACER LES VIDANGES DE LA MICRO-STATION Si vous voulez garantir le bon fonctionnement de votre micro-station et espacer les vidanges, vous devez lui accorder un minimum d’attention. Rappelons que cette filière fait appel à des bactéries pour dégrader la charge polluante dans les eaux. Il faut donc veiller à ce qu’elles puissent se développer correctement et que vos habitudes au quotidien ne mettent pas leur existence en danger. Parmi les gestes simples que vous pouvez adopter, évitez de déverser n’importe quoi dans votre évier, vos toilettes, etc. Tout déchet non biodégradable peut perturber le bon fonctionnement de votre station d’épuration. On peut par exemple citer La terre générée lors du nettoyage de bottes boueuses…, Les restes de repas, Les cotons-tiges, Les tampons et serviettes hygiéniques, Etc. Non seulement ces déchets solides peuvent colmater les canalisations et autres systèmes de dispersion en aval de la micro-station, mais ils augmentent aussi la fréquence de vidange. Autre exemple Lorsque les graisses ne sont pas utilisées à bon escient et arrivent en grande quantité dans votre station, elles peuvent s’accumuler dans le décanteur primaire. Plus vous rejetterez des huiles, des graisses à frite, etc., dans votre évier, plus vous devrez vidanger souvent votre micro-station. Comme solution, vous pouvez composter ces graisses ou les apporter au parc à conteneurs. CONCLUSION La fréquence de vidange d’une micro-station d’épuration dépend donc de plusieurs critères, mais c’est le taux d’occupation du logement, couplé au volume de la cuve, qu’il faut regarder de près. Des gestes simples à adopter au quotidien vous permettront également d’espacer les vidanges de votre micro-station. Le prix d’une vidange peut varier du simple au double. N’hésitez donc pas à appeler plusieurs entreprises et demander plusieurs devis afin de comparer leurs tarifs. En tout cas, n’oubliez pas que cette opération doit être réalisée par un vidangeur compétent et agrée par le Ministère de l’Environnement. Si vous n’avez pas conclu un contrat d’entretien avec votre fabricant, adressez-vous à un professionnel ou à une société agréée de votre région.
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trouvez des Demandez des devis aux de votre région pour . Qui doit payer pour la vidange de la fosse septique ? Le locataire ou le propriétaire ? Il y a deux sortes d’assainissement -l’assainissement collectif où les maisons sont directement raccordées aux égouts. Ce système est très répandu dans les grandes villes -Les habitations qui ne sont pas reliées à un réseau d’assainissement collectif doivent avoir leur propre fosse septique ou leur micro-station. Ces dernières ont pour rôle de traiter et d’épurer les eaux domestiques et les eaux usées avant qu’elles ne soient déversées dans la nature ou utilisées en agriculture Il est ainsi essentiel d’entretenir régulièrement ces deux systèmes. Entretien qui consiste à vidanger, à curer puis à entretenir le filtre planté pour venir à bout des mauvaises odeurs et des risques sanitaires Vidange de la fosse septique une charge attribuée au locataire Le frais de vidange d’une fosse septique est toujours une source de conflit entre propriétaire et locataire. L’arrêt de la Cour de cassation du 6 mai 1996 confirme dans son article 5 que l’entretien et la réparation d’une fosse septique toutes eaux incombent uniquement aux locataires. Par conséquent, c’est au locataire de payer tous les frais de vidange de la fosse septique toutes eaux qui font partie des obligations locatives, au même titre que l’assurance. Chaque famille vivant dans un même immeuble participera chacune à ces frais de vidange, que certaines d’entre elles viennent d’emménager au moment de la vidange ou qu’elles étaient déjà là auparavant. A noter que ces frais avoisinent les 150 à 300 euros pour une fosse septique toutes eaux de dimension standard 3 m 3. La différence de prix est déterminée par le temps consacré à l’ensemble des opérations et par les matériels nécessaires à leur réalisation. Ce prix varie également suivant les régions et le professionnel en charge des travaux de vidange. Les réglementations concernant la vidange de la fosse septique La vidange d’une fosse septique est obligatoire, et doit être réalisée par un professionnel ayant obtenu l’accréditation de la préfecture. Cette décision a été prise afin d’éviter tout risque sanitaire au moment de la vidange. En principe, une vidange de la fosse septique doit se faire tous les 4 ans, celle d’une installation d’épuration biologique à cultures fixées tous les ans et celle d’une installation d’épuration biologique à boues activées tous les six mois environs. L’intervention ne doit pas en revanche attendre qu’il y ait un trop plein ou que la fosse soit remplie de boue à 50 % ou la micro-station à 30% Devis Jusqu'A 3 devis en 5 minutes. Cliquez ici
Numéro d’Agrément Ministériel 2012-003 Capacité de traitement en équivalents-habitants 2 = nombre de pièces principales conf. arrêté minist. du 07/03/12 jusqu’à 6EH Débit nominal 2 150 – 900 l/jour Charge organique 2 0,06 – 0,36 kgDBO5/j Volume utile total 4000 l Compartiment de décantation primaire 2400 l Compartiment d’oxygénation 900 l Compartiment de clarification 700 l Longueur totale A 260 cm Largeur totale B 164 cm Hauteur totale C 224 cm Distance de la base au fil d’eau d’entrée D 137,5 cm Distance de la base au fil d’eau de sortie E 130 cm Distance entre niveau du sol et FEE F 53,5 cm Distance entre niveau du sol et FES G 61 cm Différence de fil d’eau entrée/sortie 7,5 cm Hauteur au-dessus du niveau du sol H 33 cm Diamètre entrée/sortie 100 mm Nombre de tampons d’accès/rehausses 1 unités Poids à vide 3 300 kg Puissance déclarée mesurée du compresseur 64 46 W Temps de séjour min. sur base EH max. 106 hç Voir les schémas
Assainissement autonome les nouvelles règles Publié le 10/12/2013 Les récentes évolutions de la réglementation imposent de nouvelles obligations aux propriétaires de maisons qui ne sont pas raccordées au réseau collectif. Tour d’horizon des conséquences et des principales solutions à retenir. Traiter les rejets domestiques Le traitement des rejets domestiques a autant pour objectif la protection des eaux souterraines et de surface que celle des populations contre tout risque sanitaire. C’est pourquoi les agglomérations disposent de réseaux d’égouts et de stations d’épuration. On parle alors d’installations d’assainissement collectif. Largement majoritaire aujourd’hui, ce mode de traitement ne peut toutefois être mis en œuvre dans certaines zones rurales, périurbaines... pour des raisons de coût. Conséquence, près de 6,5 millions de logements 12 millions d’habitants ! relèvent toujours de l’assainissement non collectif ANC. Ce type de traitement consiste à épurer les rejets sur place à l’aide d’une filière autonome . Le contexte réglementaire de l’assainissement non collectif ANC Assez ancien dans son principe, l’assainissement non collectif n’est officiellement reconnu que depuis vingt ans. C’est en effet une Directive européenne de 1991 puis la Loi sur l’eau de 1992 qui en ont fait une alternative valable au tout-à-l’égout ». Mais seulement à certaines conditions les usagers doivent se doter d’installations conformes à la législation et les maintenir en bon état de fonctionnement. En principe, toutes ces installations devraient avoir été contrôlées au moins une fois avant la fin 2012…Cette mission incombait à l’origine aux mairies, DDASS ou DDE. Mais depuis la Loi sur l’eau et les milieux aquatiques LEMA de 2006, cette responsabilité a été transférée pour toute commune de plus de 2 000 habitants aux SPANC services publics d’assainissement non collectif. Les SPANC se prononcent au cas par cas sur le choix de telle ou telle fi lière, contrôlent sa conception et sa mise en oeuvre. Ils s’appuient pour cela sur les lois Grenelle 1 et 2 ainsi que sur diverses normes. Et ses évolutions récentes La plupart des dispositions réglementaires applicables aujourd’hui figurent dans l’arrêté interministériel du 7 septembre 2009. Il a été complété en 2012 par deux autres textes de même type. L’arrêté du 7 mars 2012 ajoute l’obligation pour les propriétaires de contacter le SPANC avant tout projet d’assainissement. Ce texte distingue en outre les installations existantes, des installations neuves c’est-à-dire réalisées ou réhabilitées à partir du 1er juillet 2012. Il précise aussi le calcul de leur dimensionnement l’unité retenue nombre d’équivalents-habitants ou EH correspondant au nombre de pièces principales du logement, sauf cas particulier justifiant une étude préalable. L’arrêté du 27 avril 2012 entré en vigueur au 1er juillet vise pour sa part un double objectif améliorer la qualité des installations dès leur conception et imposer en priorité la réhabilitation d’installations présentant des dangers pour la santé ou des risques avérés pour l’environnement. Contrôles du SPANC Service Public d’Assainissement Non Collectif Chaque installation est soumise à un contrôle périodique du SPANC Service Public d’Assainissement Non Collectif afin de vérifier son fonctionnement et son entretien. Depuis la loi Grenelle 2 du 12 juillet 2010, la fréquence de ce contrôle passe à 10 ans, contre 8 ans auparavant. Or, selon les enquêtes nationales menées chaque année par l’Association nationale de défense des consommateurs et usagers CLCV auprès de 80 SPANC*, ces contrôles sont beaucoup plus fréquents 96 % d’entre eux ont lieu avant 8 ans, dont 38 % tous les 4 ans… Ce n’est pas sans conséquence pour l’usager qui paie en moyenne 85 € par contrôle, avec des écarts de 1 à 15 selon le SPANC dont il dépend. Conclusion on ne saurait trop conseiller à chacun de rester vigilant et de confronter son expérience à celles d’autres usagers, via une association locale, par exemple. * Dossier noir de l’ANC une plongée en eaux troubles » html Enjeu environnemental ou sanitaire ? L’arrêté du 27 avril 2012 indique la liste des points à contrôler a minima par les SPANC des installations neuves ou à réhabiliter. Les autres installations existantes doivent quant à elles faire l’objet de presque toutes les mêmes vérifications, auxquelles s’ajoutent de nombreuses autres se reporter au texte de l’arrêté**. Ce texte précise également le contexte de ces contrôles et distingue pour cela plusieurs zones à enjeu environnemental ou à enjeu sanitaire. La notion de zone s’étend du site de l’installation jusqu’à l’endroit où les rejets rejoignent le milieu naturel après traitement. Les zones à enjeu environnemental sont identifiées comme telles par le schéma directeur d’aménagement et de gestion des eaux SDAGE ou le schéma d’aménagement et de gestion des eaux SAGE. L’un comme l’autre relèvent des agences de l’eau. Les zones à enjeu sanitaire sont en revanche caractérisées par la proximité d’un captage public pour la consommation humaine, d’un site de baignade ou activités nautiques, conchyliculture, pisciculture, cressiculture, pêche à pied… ** L’arrêté est téléchargeable sur le site de Légifrance Service public de la diffusion du droit Cliquez sur la rubrique Les autres textes législatifs et réglementaires » puis dans la case NOR », tapez DEVL1205609A ». Nitrates et pesticides restent les principaux responsables du mauvais état des eaux en milieu naturel. Les effluents provenant des installations domestiques ne sont à l’origine que de 1 % de la pollution diffuse des eaux françaises source l’association des consommateurs CLCV. Le risque une notion large L’arrêté du 27 avril 2012 distingue également le danger pour la santé des personnes que peut présenter une installation autonome défaut de sécurité sanitaire fuites, défaut de structure ou de fermeture chutes. Dans une zone à enjeu sanitaire, la notion de risque s’étend au manque de performance pour cause d’installation incomplète, nettement sous-dimensionnée ou comportant des dysfonctionnements majeurs. Dans une zone à enjeu environnemental, de tels facteurs constituent un risque de pollution de l’environnement. Mais rappelons que d’après la loi Grenelle 2 et l’arrêté du 27 avril 2012, le risque avéré est établi sur la base d’éléments probants études, analyses du milieu réalisées par les services de l’État ou les agences de l’eau qui démontrent l’impact sur l’usage en aval ou sur le milieu. Si les éléments à la disposition du contrôleur ne lui permettent pas de conclure de façon certaine, l’installation ne sera pas considérée comme présentant un risque avéré de pollution de l’environnement. » Agences de l’eau objectif 2015 Six agences de l’eau appelées aussi agences de bassin dépendent du ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie MEDDE. Leur mission est de réduire les pollutions de toutes origines et de protéger les ressources en eau et les milieux aquatiques des sept bassins hydrographiques métropolitains. Elles perçoivent ainsi des redevances recettes fiscales environnementales, via les factures d’eau des usagers particuliers, collectivités, etc.. Leur objectif deux tiers des masses d’eau en bon état dès 2015 loi Grenelle 1. Mais pour l’instant, seule la moitié environ des eaux sont en bon état chimique », soit 43 % des eaux de surface cours d’eau, lacs et eaux littorales et 59 % des eaux souterraines*. *Source MEDDE. Propriétaires quelles obligations concernant l'assainissement ? Selon la nature du problème constaté et le risque qu’il représente, les obligations ne sont pas les mêmes pour le propriétaire. De la simple recommandation visant à améliorer le fonctionnement de l’installation, cela peut aller jusqu’à la mise en demeure de réaliser une installation conforme dans les meilleurs délais. S’y ajoutent des dispositions plus générales, entre autres assurer l’entretien régulier et faire procéder à la vidange par une personne agréée, permettre aux agents d’assainissement d’accéder à l’installation, annexer à la promesse de vente un rapport de contrôle délivré par le SPANC datant de moins de 3 ans… Et dorénavant, l’avis du SPANC intervient aussi dans la délivrance d’un permis de construire. L’avis d’un expert Luc Lary * Ce n’est pas parce qu’une filière d’assainissement est agréée qu’elle donne satisfaction. Elle doit pour cela être dimensionnée correctement et ne pas être choisie “a minima”, sur le seul critère du prix. Un coût d’exploitation qui atteint 500 € HT/an peut vite devenir intolérable pour certains ménages. D’où le risque d’un entretien négligé, de performances en baisse et de conséquences néfastes pour l’environnement… » * Luc Lary, chef de produits traitement des eaux au sein du Groupe Sebico 93. L’avis d’un expert Thierry Koerckel * Beaucoup de filières classiques, avec fosse toutes eaux, lit d’épandage souterrain, filtre à sable…, sont aujourd’hui saturées et doivent être remises aux normes. Les nouvelles filières agréées ont donc leur carte à jouer un à deux jours suffisent pour les mettre en oeuvre contre près d’une semaine pour les systèmes traditionnels, et elles n’ont qu’un impact minimal sur le terrain. On peut prédire que d’ici 5 ans, peut-être avant, elles auront supplanté les solutions classiques, surtout dans la construction neuve. » * Thierry Koerckel, responsable du service technique et bureau d’études de Graf 67. Assainissement autonome comment ça marche ? Les rejets ou effluents domestiques sont composés des eaux ménagères eaux grises provenant des éviers et des sanitaires, et des eaux-vannes eaux noires arrivant des toilettes. Les unes et les autres doivent impérativement subir un traitement en deux temps prétraitement et traitement. Le prétraitement a pour effet de retenir les huiles et graisses dans un bac spécial situé en amont de la fosse toutes eaux ». Dégraissées, les eaux ménagères rejoignent les eaux-vannes qui, elles, vont directement à la fosse. Les matières les plus lourdes s’accumulent au fond de la fosse sous forme de boues. Grâce aux bactéries anaérobies vivant sans oxygène, leur volume se réduit peu à peu par fermentation. Mais des vidanges sont nécessaires. Les eaux les plus claires restent en surface et traversent un préfiltre appelé décolloïdeur monté à la sortie de la fosse. Les effluents sont alors prêts à subir un traitement par voie aérobie contenant de l’oxygène. Cette dernière étape de l’assainissement vise à décomposer les ultimes résidus de matières organiques. Ce processus a lieu dans un dispositif de traitement utilisant le pouvoir épurateur du sol. Comment déterminer la perméabilité du sol ? Temps d’infiltration Nature du terrain Coef. de perméabilité k* en mm/h Coefficient de perméabilité k en fonction de la nature du terrain Moins de 30 min Sol sableux k > 50 perméabilité élevée De 30 min à 2 h Sol sablo-limoneux 30 ≤ k ≤ 50 perméabilité moyenne De 2 h à 4 h Sol limoneux 15 ≤ k ≤ 30 perméabilité médiocre Plus de 4 h Sol argilo-limoneux 6 ≤ k ≤ 15 perméabilité faible Pour mesurer la perméabilité de votre terrain, creusez un trou d’environ 30 x 30 cm à 50 cm de profondeur. Remplissez-le d’eau et attendez qu’elle soit entièrement absorbée par le sol. Versez à nouveau 10 litres d’eau et mesurez le temps d’infiltration. * Le coefficient de perméabilité k ou conductivité hydraulique exprime une hauteur d’eau infiltrée par unité de temps selon le test de Porchet test dit de percolation à niveau constant. Bon à savoir les limites de l'assainissement non collectif Les installations d’assainissement non collectif sont conçues pour recevoir une charge brute de pollution organique jusqu’à 1,2 kg de DBO5 par jour. Agréées, elles ne doivent pas rejeter par jour plus de 35 mg/l de DBO5 et 30 mg/l de matières en suspension MES, selon l’arrêté du 7/9/2009 art. 7. Evacuation par canalisation Une canalisation en PVC de 100 mm de Ø permet l’aération de la fosse septique. L’évacuation doit dépasser la toiture de 40 cm mimimum. Fosse en polyéthylène Cette fosse en polyéthylène de 3 000 à 6 000 l comporte un diffuseur qui limite les remous en entrée des effluents et un préfiltre en sortie. Elle offre par ailleurs une bonne tenue en cas de nappe phréatique proche. Filtre à sable vertical Pour quels terrains ? Privilégié pour les terrains argileux, un filtre à sable non drainé est constitué d’un lit de sable de 70 cm d’ép. recouvert de 20 cm de graviers et parfois déposé sur un feutre géotextile. Drainé, le sable est précédé d’une couche de 10 cm de graviers et d’un drain de collecte. À quel prix ? 4 500 à 6 500 € HT non drainé / 5 000 à 10 000 € HT drainé pour 5 équivalents-habitants voir glossaire p. 23. Avantages Cette solution pallie le manque de perméabilité d’un sol. En version non drainée, elle s’accommode de la présence d’eau à 80 cm de profondeur. Un film imperméable peut par ailleurs être disposé sous la couche de drainage pour protéger la nappe phréatique sol fissuré. Inconvénients La surface et la profondeur d’un filtre à sable sont équivalentes à celles d’un lit d’épandage souterrain classique donc 200 m2. Le sable doit par ailleurs être assez fin pour garantir une bonne dispersion et un fonctionnement optimal à long terme. Épandage souterrain Pour quels terrains ? L’épandage souterrain est une solution adaptée aux grands terrains perméables solution classique. Il est généralement constitué de tranchées parallèles de 15 à 30 m de long et de 0,60 à 1 m de profondeur. Distantes de 1,50 m au moins, elles accueillent les tuyaux d’épandage sur un lit de gravier. Ces tubes sont reliés entre eux par des regards de bouclage et de répartition puis recouverts d’un feutre géotextile et de terre végétale. Variante le lit d’épandage sous forme de fouille. C’est l’option envisagée dans le cas d’un sol sableux ou lorsque des tranchées ne peuvent être réalisées pour une raison quelconque. À quel prix ? 4 000 à 6 000 € HT pour 5 équivalents-habitants. Avantages Tranchées ou lit d’épandage, le dispositif bien connu des professionnels, a largement fait ses preuves. C’est aussi l’un des moins chers. Inconvénients Le terrain doit être suffisamment perméable k* ≥ 50 mm/h à 60 cm de profondeur et dépourvu d’eau entre 80 cm et 1,5 m de profondeur. Une fouille exige dans les 60 m2 au moins, et les tranchées, une surface de l’ordre de 200 m2. Ce type de solution est donc réservé à un terrain assez vaste ; sachant qu’il faut aussi compter avec la surface de la fosse toutes eaux et du bac à graisses. Le terrain doit par ailleurs être plat moins de 2 % de pente et exempt de grands arbres, massifs ornementaux et autres éléments inamovibles piscine, réservoir d’eau de pluie, cuve de fioul…. * K = coefficient de perméabilité d’un terrain. Tertre d’infiltration Pour quels terrains ? Le tertre d’infiltration convient aux terrains en pente ou avec nappe phréatique affleurante. Il reprend le principe du filtre à sable vertical non drainé mais au lieu d’être mis en œuvre au fond d’une fouille, il prend place au-dessus du terrain. La hauteur de l’ouvrage atteint facilement 1 m, voire plus, car il faut au moins 70 cm de sable. À quel prix ? 8 000 à 12 000 € HT pour 5 équivalents-habitants. Avantages Ce procédé ne requiert aucune excavation. Il convient donc aux terrains imperméables ou situés en zone inondable ou comportant de l’eau à 80 cm de profondeur. Il convient aussi aux parcelles aménagées en terrasses. Inconvénients Un tertre d’infiltration exige une surface équivalente à celle d’un filtre à sable 200 m2. De plus, il modifie sensiblement la topographie des lieux. Il peut également imposer la présence d’une pompe de relevage, donc un raccordement électrique. Son coût peut aussi varier selon la disponibilité du sable requis. Filtre gravitaire Pour quels terrains ? Pour petits terrains, l’épuration gravitaire a pour particularité de permettre la dispersion directe des effluents dans un milieu hydraulique superficiel fossé humide ou cours d’eau par exemple par infiltration dans le sol, voire dans un réseau de collecte d’eaux pluviales. Elle fait appel à un filtre gravitaire par lequel transitent les effluents partiellement décantés au sortir du préfiltre de la fosse toutes eaux. Ce réservoir accueille des supports bactériens ou une substance filtrante copeaux de fibres de coco, laine de roche, sable calibré… qui permet à l’épuration de s’achever normalement. À quel prix ? 8 000 à 12 000 € HT pour 5 équivalents-habitants voir glossaire ci-contre. Avantages Le gain de place. Un filtre gravitaire n’occupe que 10 à 15 m2 en général. Il peut en outre être mis en oeuvre hors-sol sous un tertre et alimenté par une pompe de relevage et parfois être dédoublé montage en parallèle pour desservir plusieurs habitations ANC regroupé. Certaines substances filtrantes sont recyclables. Inconvénients La substance filtrante est à remplacer périodiquement par pompage, selon une fréquence qui dépend du dimensionnement. Micro-station d’épuration Pour quels terrains ? Pour les terrains à problèmes très petits, rocheux, peu accessibles…, une micro-station s’installe, selon le cas, en complément d’une fosse toutes eaux ou bien remplace à elle seule tous les composants d’une filière d’épuration fosse toutes eaux comprise. Elle est alors cloisonnée en deux ou trois chambres amont-aval ou concentriques. La chambre d’amont ou centrale sert de décanteur primaire pour le prétraitement. La chambre d’aval ou périphérique assure le traitement. Certaines micro-stations fonctionnent de manière statique avec une substance filtrante, comme un filtre gravitaire. D’autres utilisent une pompe de recirculation immergée et d’autres encore, fonctionnent à l’air comprimé avec un petit compresseur piloté par une armoire de commande. À quel prix ? 6 000 à 10 000 € HT pour 5 équivalents-habitants EH. Avantages Une compacité inégalée moins de 4 m2 pour certains modèles qui convient parfaitement à la rénovation et aux terrains à problèmes. Inconvénients À peu près les mêmes que ceux du filtre gravitaire, et un entretien plus complexe ce qui, dans la majorité des cas, justifie un contrat d’entretien. Un guide d’aide au choix pour l'assainissement autonome Le site interministériel sur l’assainissement non collectif propose un Guide d’information sur les installations », disponible gratuitement*. Il permet aux usagers de faire le point sur tous les aspects techniques et pratiques de la conception à la réalisation d’une installation, en passant par le financement d’une rénovation. Celle-ci peut notamment faire l’objet d’un éco-prêt à taux zéro Éco-PTZ dans la limite de 10 000 €. D’autres subventions sont également possibles agences de l’eau, conseils généraux, communes, Agence nationale de l’habitat. Pour plus de renseignement, consultez le SPANC de votre région * o Glossaire de l’ANC assainissement non collectif DBO5 demande biochimique en oxygène sur 5 jours. Elle sert à mesurer la pollution biodégradable. Elle correspond à 5 jours de consommation d’oxygène des micro-organismes chargés de décomposer les effluents. Équivalent-habitant EH quantité de pollution émise par personne, soit 60 g de DBO5 par jour pour 150 l/j de débit d’eaux usées. Depuis l’arrêté du 7 mars 2012, 1 EH = 1 pièce principale. Épandeur conduite en PVC perforée sur sa longueur qui assure le traitement des effluents par voie aérobie et leur dispersion dans le milieu naturel. Matières en suspension MES matières fines non dissoutes d’origine minérale ou organique. Visibles à l’oeil nu, elles peuvent dégrader la qualité des eaux superficielles. Spankers techniciens des Services publics d’assainissement non collectif SPANC. Sites internet à consulter pour en savoir plus sur le traitement des rejets domestiques • Site interministériel sur l’assainissement non collectif developpementdurable. • Association nationale de défense des consommateurs et usagers CLCV bienvenue-sur-lespaceanc- assainissement-noncollectif. html. • Eau France Service public d’information sur l’eau Texte Hervé Lhuissier
difference entre fosse septique et micro station